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Profanes : roman / Jeanne Benameur
Livre
Edité par Actes Sud. Arles ; Leméac. [Montréal] - 2012
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Avis des lecteurs
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Pause Lecture de Périgny
Ils sont quatre, ne se connaissent pas mais vont se retrouver réunis autour d’Octave Lassale, un vieux chirurgien qui les a choisis pour l’accompagner dans la dernière étape de sa vie. Cette improbable communauté va progressivement tisser des liens aussi puissants qu’inattendus d’où vont émerger les blessures secrètes et les fêlures de chacun… Un livre qui propose une réflexion sur l’existence.
Sylviane - Le 31 décembre 2015 à 10:33 -
Pause Lecture de Périgny
Intéressant, curieux que cette décision que prend ce vieux médecin de terminer sa vie entre plusieurs personnes choisies par lui à qui il attribue des tâches déterminées. Bien sûr on comprend vite que c’est le prétexte à un retour en arrière à une analyse de bon parcours. Des choses essentielles sont dites, des sujets profonds abordés et cependant ce livre ne m’a pas vraiment emballée. Est-ce dû au style, aux longueurs, au va et viens entre personnages. Je ne sais trop. A lire si on veut découvrir Benameur.
Annie - Le 31 décembre 2015 à 10:19 -
Profanes de Jeanne Benameur
C'est la 2nde lecture d'un roman découvert à sa sortie (Février 2013) et la magie a à nouveau opéré. Un vieux chirurgien de 90 ans, Octave Lassale, choisit avec soin 3 femmes et un homme qui ne se connaissent pas , pour une tâche précise à un horaire précis, chacun ayant droit à une chambre dont il peut disposer ou non. Les 4 personnes vont apprendre à cohabiter et vivre avec ce patriarche dans une immense maison qui au fur et à mesure devient un refuge pour chacun et le théâtre de profonds bouleversements intérieurs... Car peu à peu, on découvre les personnalités de chacun, leur histoire, leurs failles... Admirablement écrit, avec des moments d'intenses poésies, il se termine par ces mots d'Octave Lassale : "Le chagrin a été ma seule boussole si longtemps. Maintenant ils sont là, tous les 4. C'est ma seule carte du monde à laquelle je puisse me fier. Une carte mouvante, vivante"
PATRICIA DACHET - Le 07 novembre 2013 à 10:10